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7 novembre 2010 7 07 /11 /novembre /2010 12:43

Martin Malvy, le Président du conseil régional, accompagné de Jean-Christophe GIESBERT est venu dédicacer son ouvrage « Des racines, des combats et des rêves », à Tarbes.

Martin MALVY est venu à Tarbes, à notre rencontre lors de la séance de dédicace, à Tarbes, samedi 6/11 en fin d'après-midi (séance programmée initialement samedi matin mais décalée en raison de la manifestation). Des lecteurs, des militants, des élus étaient présents comme Bernard Plano, Viviane Artigalas, Jean-Claude Palmade, ...


2010

Martin Malvy : des racines, des combats et des rêves
Entretiens avec Jean-Christophe Giesbert et Marc Teynier

 

Il présentait son dernier ouvrage : « Des racines, des combats et des rêves ». Un recueil d'entretiens recueillis par les journalistes Jean-Christophe Giesbert et Marc Teynier, durant un certain nombre de dimanches.

Durant ces 240 pages, il nous conte des moments de vie personnelle et politique. Il retrace ses racines, son enfance dans le Lot, sa carrière de journaliste à «La Dépêche du Midi», son militantisme...

Il nous propose un éclairage sur la politique des régions tout en évoquant son enfance, ses études de journalisme, sa rencontre avec F. Mitterrand, son entrée en politique...

Il nous fait part de ses si nombreuses actions,  engagées lors de son combat politique en tant que député, ministre et président de région socialiste. Un engagement de quarante ans déjà.

Mais c'est aussi une projection vers l'avenir auquel il croit, pour midi-Pyrénées et au delà ! 

 

Quatrième de couverture :

"Si Martin Malvy a accepté de répondre aux questions des journalistes Jean-Christophe Giesbert et Marc Teynier, ce n'est pas pour se faire une publicité dont il n'a nul besoin, mais pour rappeler les objectifs de quarante années d'engagement politique. Il évoque bien sûr ses racines, son choix socialiste, son militantisme, sa rencontre avec François Mitterrand et les grandes batailles de la gauche auxquelles il participa en tant qu'élu ou ministre. Et surtout, Malvy regarde vers l'avenir. Celui de Midi-Pyrénées, dont il s'efforce de pérenniser le savant mélange d'authenticité et de modernité, mais aussi celui de toutes les régions. Car il se pose en ardent défenseur de la décentralisation, aujourd'hui menacée, et pourtant seule base possible, à ses yeux, d'une bonne gestion de la France et de la solidité de l'Europe.

En mars 2010, Martin Malvy a été le président de région le mieux élu de France avec près de 70 % des voix. C'est dire que sa vision de la chose publique n'a pas séduit que les électeurs socialistes. Et c'est en cela que ce livre nous concerne tous."

 

Un livre très intéressant qui se lit avec plaisir !

 

Pour en savoir un peu plus, sur ce livre mais aussi sur le parcours d'homme politique, d'élu de Martin MALVY , il faut visionner la vidéo du 8/10/2010  en cliquant ici

 

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 04:45
Ma nuit à l'Hospitel, hôtel à l'hôpital : « Mieux que l'Ibis ! »

 

 

Flanc droit de l'Hôtel-Dieu, Paris (stephanemartin/Flickr).

Anne Gallois, réalisatrice, a subi une ablation du sein, et le soir-même elle dormait dans un hôtel… au sein de l'hôpital. Rideaux à fleurs, touristes dans les chambres à côté et zéro centimes remboursés par la Sécu. Ce n'était pas un choix. Récit.

Comme tout le monde (ou presque), j'ai eu un cancer.

Puisqu'il s'agissait de m'enlever un sein, j'ai rencontré mon chirurgien -très sympathique et très compétent, je vous le recommande.

Celui-ci m'a annoncé sur un ton jovial que je sortirais de l'hôpital (l'Hôtel-Dieu, à Paris) le lendemain matin et, heureuse surprise, je passerais la nuit suivant l'intervention à l'hôtel. A mon air interloqué, il a vu que je ne comprenais pas :

« Pas un hôtel à l'extérieur, un hôtel DANS l'hôpital. Impeccable. Mieux que l'hôtel Ibis. »

Il m'en a fait une description alléchante. J'aurais, avec moi, la personne de mon choix et celle-ci passerait la nuit à mes côtés :

« Votre mari, votre compagnon… Qui vous voulez. »

J'ai cru qu'il allait ajouter : « Une nuit de rêve, en amoureux. »

Cette présence, de toute façon, était obligatoire car il n'était pas question de rester seule ce soir-là. 
Le chirurgien m'a expliqué les avantages de cette solution. Je n'aurais pas l'impression d'être malade et j'échapperais aux maladies nosocomiales :

« Allez visiter », m'a-t-il conseillé gentiment.

Une formule unique en France, née aux Etats-Unis

C'est au sixième étage de l'Hôtel-Dieu parisien que se trouve l'Hospitel qui accueille, outre des touristes japonais, américains ou autres, des patients dits « en ambulatoire ».

L'Hospitel, établissement privé et indépendant, existe depuis 1992. Considéré comme hôtel-pilote, il bénéficie d'un accord avec l'hôpital qui lui permet d'accueillir des clients de l'extérieur afin de le rentabiliser.

C'est un médecin de l'Hôtel-Dieu, en voyage aux Etats-Unis au début des années 90, qui est à l'origine de cette formule, unique en France.

Le système de santé américain ne permettant pas l'accès aux soins à la très grande majorité, devant chaque hôpital, on trouvait un hôtel, de un à quatre étoiles. Ainsi, le patient pouvait être hébergé, pour une somme raisonnable, pendant une ou plusieurs nuits, s'il n'avait pas les moyens de se payer une chambre d'hôpital, hors de prix.

L'Hospitel, à ses débuts, a d'abord accueilli des provinciaux ou des étrangers -accompagnés éventuellement de leurs familles- qui devaient subir des interventions légères, style cataracte. Actuellement, on y loge, pour la nuit, des patients fraichement opérés venant des services d'ophtalmologie, de chirurgie viscérale, de cardiologie, de cancérologie…

Bien sûr, toutes les précautions sont prises et le malade n'est envoyé à l'hôtel hospitalier que si son état est totalement satisfaisant. Sinon, on le garde à l'hôpital pour la nuit.

Un hôtel idéal pour les hypocondriaques du monde entier

« Le patient, explique Maria Snar, directrice de l'Hospitel, se sent en sécurité. Et cela lui évite de rentrer chez lui et de revenir le lendemain matin pour voir son chirurgien. »

La nuit à l'Hospitel n'est pas prise en charge par la Sécurité sociale et quelques rares mutuelles la remboursent. Pas la mienne. Mais on n'a pas le choix, à moins d'aller se faire opérer ailleurs.

Je n'ai pas réalisé tout de suite que ce système, c'était pour la Sécu, tout bénef, et qu'ainsi, j'éviterais de creuser davantage son trou abyssal.

L'Hospitel a l'air de ce qu'il est : un hôtel. Bureau de réception avec son hôtesse, ses dépliants touristiques, ses cartes postales, ses tarifs. Tarif préférentiel pour le patient :

  • 60 euros la nuit, plus 11 euros pour la personne accompagnante ;
  • 120 euros pour le touriste.

Idéal pour les hypocondriaques du monde entier qui peuvent se payer le luxe d'un hôtel au cœur de Paris, avec toute une armada de médecins à chaque étage.

La réceptionniste m'a proposé de visiter une chambre. Rideaux fleuris, dessus de lits blancs à motifs rouges, table garnie d'un bouquet de fleurs, moquette, salle de bain moderne et spacieuse, le tout d'une propreté impeccable.

« En effet, ai-je dit, on se croirait dans un hôtel Ibis.

— Ah non ! C'est mieux que l'Ibis », a-t-elle protesté.

Avant de partir, elle m'a demandé de verser 20 euros pour la réservation.

La cour intérieure de l'Hôtel-Dieu, Paris (stephanemartin/Flickr).

« Un hôtel, en haut d'un hôpital ! … Quelle excellente idée ! »

Certains guides et un site internet présentent cet établissement généralement ignoré des Français :

« Idéalement situé. Sur l'Ile de la cité, juste à côté de la cathédrale Notre-Dame. »

Suit un descriptif des chambres, avec air conditionné, télévision, coffre-fort, Wi-Fi…

« Le Petit Futé » parle d'un hôtel atypique qui fera le bonheur des curieux d'histoire ancienne. The Times loue les services d'une équipe énergique et serviable.

Les voyageurs, invités à donner leur avis sur différents sites internet, classent l'Hospitel dans la catégorie « excellent ». Et, en dépit de la traduction automatique et du charabia qui s'ensuit, on comprend qu'ils ne tarissent pas d'éloges :

« Cet hôtel ne paie pas avoir plus parfait ! Nous étions au Isle de cité, juste à côté de Notre-Dame ! Et pour ce prix ! Ouah ! Un bel hôtel »,écrit… cet Américain.

« Quelle excellente idée pour un hôtel, en haut d'un hôpital ! Au départ, il était un peu bizarre […] mais c'est assez simple pour nous habituer »raconte cette Allemande.

Mon entourage ne partageait pas cet enthousiasme. Il était effrayé et effaré.

« Tu ne vas pas sortir le lendemain quand même ! » me disait-on.

Autrefois, pour une opération comme celle que je devais subir, on restait une semaine à l'hôpital. Mais les temps ont changé. J'ai cherché à me rassurer auprès des infirmières, des secrétaires. Toutes se montraient surprises de mes réserves et de mes craintes :

« On fait cela depuis des années, répétaient-elles, et il n'y a jamais eu de problème ».

Ce qui s'est avéré exact pour moi aussi.

Le soir de l'intervention, vers 18 heures, j'ai débarqué dans l'Hospitel dans un fauteuil roulant conduit par un aide-soignant. Un couple de Japonais consultait un plan de Paris. Ils m'ont regardée, un peu étonnés, mais, par discrétion ou politesse, ils ont immédiatement repiqué du nez sur leur plan.

Une bouteille de Saumur à 7,50 euros

J'avais, avec moi, le numéro de téléphone du médecin de garde, au cas où. Mais, comme je n'étais pas dans un service hospitalier, on ne viendrait pas m'embêter avec des prises de tension ou autres.

A l'heure du dîner, une femme de chambre est venue apporter les repas commandés par téléphone. Une formule à 11,50 euros pour moi qui n'avait pas une grosse faim. Une autre à 14,50 euros et une bouteille de Saumur à 7,50 euros pour « la personne accompagnante » à laquelle je me faisais un plaisir d'offrir cette nuit dans un hôtel « idéalement situé ».

J'ai regretté d'avoir eu les yeux plus gros que le ventre car j'ai à peine touché à mon plateau pourtant appétissant. J'ai passé une bonne nuit, avant le petit-déjeuner, servi dans la chambre : 8 euros, soit 16 euros pour deux personnes. J'ai demandé à quelle heure nous devions quitter la chambre :

« Au plus tard, 11 heures, a dit la réceptionniste, sinon vous repayez une nuit ».

J'ai quitté l'hôtel allégée d'un sein et de 105,50 euros

Le lendemain, vers 10h30, heure de ma sortie, l'entrée était occupée par un groupe de touristes américains d'un certain âge, équipés de grosses chaussures et de sac à dos, pour marcher dans Paris.

A 10h35, je réglais ma note avant de voir mon chirurgien qui s'était déplacé exprès pour moi car nous étions samedi. Il était satisfait de mon état et de la bonne nuit que je venais de passer. « Vous voyez », m'a-t-il dit, me signifiant que j'avais eu tort de m'inquiéter.

J'ai quitté l'hôpital, allégée d'un sein et de 105,50 euros et j'ai pensé que, bientôt, la Sécurité sociale n'aurait peut-être plus les moyens de prendre en charge l'anesthésie. Faute de pouvoir, soi-même, acheter les produits nécessaires, on aurait droit à un grand coup sur la tête, sponsorisé par « le gourdin français ».

Photos : le flanc droit et la cour intérieure de l'Hôtel-Dieu, Paris (stephanemartin/Flickr).

 


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28 octobre 2010 4 28 /10 /octobre /2010 04:28

Journée d'étude de l'APVF sur le PLF 2011: des maires inquiets pour boucler leurs budgets

 APVF 22-10-2010

Retrouvez la présentation de la journée d'étude, en cliquant ici 


L’APVF a organisé le mercredi 20 octobre 2010 sa traditionnelle journée d’étude consacrée au projet de loi de finances, en partenariat avec le groupe BPCE. Pour la première fois depuis huit ans, la question des moyens mis à la disposition des maires pour équilibrer leurs budgets a été au cœur des échanges entre maires et intervenants. Les effets de la suppression de la taxe professionnelle, du gel des dotations ou encore des futurs mécanismes de péréquation sur les budgets locaux ont été successivement abordés au cours de cette matinée. 

Au cours de la table ronde qui réunissait plusieurs parlementaires, Michel Sapin, Ancien Ministre et Député-maire d’Argenton-sur-Creuse a rappelé qu’il s’agissait de la première fois que l’on se posait la question de savoir comment boucler les budgets locaux. Jusqu’à présent, on se contentait en effet de discuter sur la diminution des moyens ou sur les priorités à définir. 


Si le recours à l’impôt ou à l’emprunt reste dans certains cas possible, la diminution de l’autofinancement et donc l’infléchissement de l’investissement public local, qui a pourtant permis d’amortir la crise économique, est selon lui désormais inéluctable. Pire, un recul des services rendus à la population est même à craindre pour les communes les plus fragiles. Marie-France Beaufils, Sénatrice-maire de Saint-Pierre-des-Corps et Vice-présidente de l’APVF, qui se refuse à envisager cette dernière solution, a invité l’ensemble des maires à faire preuve de pédagogie et à informer leurs citoyens sur les menaces qui pèsent actuellement sur le financement des services publics locaux. 

Pierre Jarlier, Secrétaire général de l’APVF et Sénateur-Maire de Saint-Flour a lui souhaité mettre l’accent sur les conséquences néfastes que pourrait engendrer l’encadrement des cofinancements entre collectivités territoriales, prévu dans la version actuelle du projet de loi de réforme territoriale. Il s’est également inquiété de la fusion prévue par le projet de loi de finances de la dotation générale d’équipement et de la dotation de développement rural en une dotation d’équipement des territoires ruraux. Grâce à cette fusion, le rôle des préfets devrait en effet être renforcé au dépends des élus locaux qui bénéficiaient d’un pouvoir de décision important au sein de la commission chargée de définir les choix stratégiques en matière d’équipements dans le département. 

Les difficultés financières qu’éprouvent actuellement les départements, en raison notamment des charges de fonctionnement incompressibles transférées par l’Etat, ont enfin été évoquées par Jean-Pierre Balligand, Député-maire de Vervins et Premier Vice-président de l’APVF. Nombreuses sont en effet les petites villes qui ressentent déjà une diminution du soutien financier apporté par leur département, souvent de moins en moins en capacité d’assurer sa mission d’animation et de solidarité entre les territoires. 

 

Article de l'APVF du 22/10/2010

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28 octobre 2010 4 28 /10 /octobre /2010 04:12

Nicolas Sarkozy l'a peut-être rêvée populaire parce qu'elle promet moins d'élus à payer par le contribuable. Le porte-parole de l'Association des régions de France (ARF) et président de Midi-Pyrénées Martin Malvy vient lui casser la baraque.

La prochaine réforme des collectivités territoriales devrait supprimer le maximum d'élus locaux au motif qu'ils sont trop nombreux pour s'occuper souvent des mêmes questions. La rue et le Café du Commerce en soupirent déjà d'aise.

Pour ne toutefois pas se fâcher avec les élus de terrains, le gouvernement vient de promettre devant le Parlement de mieux payer ceux qui resteront en place.

C'est alors au tour de Martin Malvy de dénoncer les frais que cette réforme entraînerait. Ses services calculent que, selon les comptes gouvernementaux, les 255 nouveaux élus territoriaux de Midi-Pyrénées coûteraient 1,6 millions d'euros annuels de plus que les 383 conseillers régionaux et généraux qu'ils y remplaceraient. 
Au niveau national, ajoute l'ARF, c'est 600 millions d'euros supplémentaires qui coûteraient les indemnités de ces nouveaux élus.

Cette réforme des collectivités qui interviendrait en 2014 ne revient toujours pas à Martin Malvy qui croit y voir la volonté du président Sarkozy de«concentrer des pouvoirs au profit de super-élus professionnalisés». Ceux-ci«n'auront plus le temps d'écouter», dit-il, et laisseront «une addition salée pour le contribuable».

La gauche qui trouve l'occasion d'accuser la droite de gabegie, c'est nouveau sur le marché: c'est l'arrosé qui devient arroseur.

Article "libetoulouse" du 27/10/2010 par GLv


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27 octobre 2010 3 27 /10 /octobre /2010 04:20

COMMUNIQUE DE PRESSE de l'APVF

 

Association des Petites Villes de France

 

APVFA quelques jours de la réunion de la Commission mixte paritaire chargée de trouver un acco rd entre le Sénat et l’Assemblée nationale sur le texte de loi de réforme des collectivités territoriales, Martin Malvy, Ancien minis tre, Président du Conseil régional Midi-Pyrénées, Président de l’APVF et Olivier Dussopt, Député-maire d’Annonay, Vice-président de l’APVF, ont été reçus par Michel Mercier, Ministre de l’Aménagement du territoire et de l’Espace rural, pour plaider à nouveau en faveur d’un assouplissement de certaines dispositions du texte de loi particulièrement inquiétantes pour les petites villes après le vote de l’Assemblée nationale. 

De concert, les deux élus ont attiré l’attention du Ministre sur les risques d’un renforcement trop important des pouvoirs des préfets en matière de rationalisation de la carte intercommunale. Ces pouvoirs, selon l’APVF, ne peuvent se substituer à la volonté locale, alors qu’il existe une large spécificité de situations, département par département. 

Martin Malvy et Olivier Dussopt ont à nouveau fait part au Ministre de la très vive inquiétude des élus des petites villes face à un encadrement trop strict des cofinancements qui pénaliseraient fortement les investissements locaux. Ils ont rappelé que le principe des cofinancements est consubstantiel à la libre administration des collectivités locales, nécessaire à la solidarité territoriale et utile pour soutenir l’économie. 

Dans sa réponse, le Ministre a laissé entendre que le texte de loi pourrait encore évoluer lors de son examen en commission mixte paritaire dans un sens plus favorable aux collectivités territoriales et aux demandes de l’APVF. 


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25 octobre 2010 1 25 /10 /octobre /2010 04:38

Communiqué de presse de l'APVF du 15/10/2010

 Logos Associations d'Elus

 

 


Les équipements structurant le territoire national doivent pouvoir être co-financés librement


Alors que la Commission mixte paritaire devra se tenir le 3 novembre prochain (initialement prévue le 13 octobre) pour examiner le projet de loi de réforme des collectivités territoriales, l’ensemble des associations d’élus s’inquiète vivement des dispositions du texte susceptibles d’obérer l’investissement public local.


Les articles 35 ter et 35 quater du projet de loi prévoient :


un seuil de participation minimal du maître d’ouvrage,

une interdiction, dans un grand nombre de cas, du cumul des subventions départementales

      et régionales d’investissement comme de fonctionnement,

une restriction des co-financements régionaux aux seuls projets « d’envergure régionale ».

 

Accepter ces dispositions d’encadrement des cofinancements serait contradictoire avec les principes de solidarité territoriale par ailleurs recherchés par les pouvoirs publics dans le Projet de loi de finances pour 2011 au travers du renforcement de la péréquation.


En effet, certains équipements, dont les communes et communautés assurent la maîtrise d’ouvrage et la gestion, répondent à des besoins et profitent à des territoires bien plus vastes que leurs limites administratives. Il est donc non seulement juste, mais indispensable, que ces équipements de rayonnement départemental et régional, puissent être cofinancés par le département et la région.


Par ailleurs, il n’est pas justifié de soumettre la possibilité pour les communes et les communautés de cumuler des subventions à l’adoption d’un schéma régional qui ne dépend pas d’elles.


Les associations d’élus en appellent donc à la sagesse du Parlement pour que la solidarité entre collectivités, petites ou grandes, continue d’être encouragée, notamment pour celles en grandes difficultés.


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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 05:14
Congrès de l’ADF : une résolution finale adoptée à l’unanimité

   ADF 21-10-10 

Lu sur le site ADF Association des Départements de France du 21/10/2010

A l’issue du 80ème Congrès de l’Assemblée des départements de France (voir le dossier complet) qui s’est tenu à Avignon dans le département de Vaucluse, les 20 et 21 octobre 2010, les présidentes et présidents de Conseils généraux ont adopté à l’unanimité une résolution finale qui met en exergue la situation financière très grave des départements.

 

A l’heure actuelle, les conseils généraux doivent faire face à une perte d’autonomie fiscale et au gel des dotations, dans un contexte de dynamisme des trois allocations individuelles de solidarité (APA, PCH, RSA) qu’ils versent pour le compte de l’Etat.

Les présidentes et présidents de conseils généraux sont déterminés dès lors à faire reconnaître cette situation critique et entendent qu’une réponse leur soit apportée rapidement. Ils souhaitent à court terme qu’une solution pérenne soit trouvée dans le cadre des lois de finances, qui seront prochainement examinées au Parlement.

Le dossier complet du 80e congrès 2010 de l'ADF

Le communiqué de presse

Le texte de la résolution des Présidentes et Présidents de Conseils généraux

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18 octobre 2010 1 18 /10 /octobre /2010 04:46

 

A l‘issue des deux lectures du texte de loi à l’Assemblée nationale et au Sénat, une commission mixte paritaire s’est réunie le 13 octobre. 
APVF 11-10-10 

 

 

Article de l'APVF du 11/10/2010

Dans une lettre adressée aux quatorze membres de cette commission, Martin MALVY et Pierre Jarlier ont attiré à nouveau l’attention des parlementaires sur les conséquences très graves pour les petites villes de la limitation des cofinancements. 


Dans cette lettre, l'APVF alerte les membres de la CMP sur les risques que ferait courir, pour notre cohésion territoriale et notre capacité à relancer l’économie nationale, une confirmation de la rédaction des articles 35 ter et 35 quater du projet de loi tels qu’ils ont été adoptés par l’Assemblée nationale en deuxième lecture. 

En effet, ces deux articles, qui encadrent la répartition des compétences entre les différents niveaux de collectivités et qui enserrent les cofinancements dans des règles contraignantes, nuiraient fortement, s’ils étaient adoptés en l’état, à la capacité d’investissement de nos collectivités. Notre inquiétude porte en particulier sur : 

- l’interdiction faite aux communes de plus de 3500 habitants de bénéficier, pour un même projet, d’un cumul de subventions d’investissement ou de fonctionnement accordées par un département et une région ; 

- l’obligation faite à ces mêmes communes, lorsqu’elles sont maîtres d’ouvrage d’un projet d’équipement, d’apporter à elles seules 30 % du montant total du financement ; 

- enfin la limitation de la capacité, pour les régions, d’apporter leur soutien financier aux communes, puisque leur subvention ne sera autorisée qu’en soutien d’opérations « d’envergure régionale ». 

Cette limitation dans des règles contraignantes ne manquerait en effet pas de nuire à la capacité d’investissement des collectivités. L’APVF appelle ainsi dans ce courrier les parlementaires à faire primer la liberté d’initiative le pragmatisme sur les contraintes technocratiques. 

Les partisans d’une limitation des cofinancements ont pu croire qu’ils œuvraient pour une simplification du paysage administratif français. 
La création d’une Conférence régionale des exécutifs, chargée de coordonner l’action publique locale, constitue sans aucun doute  une voie plus efficace et plus sage, pour aboutir à la nécessaire clarification de la répartition des responsabilités de chaque niveau de collectivités. 
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3 octobre 2010 7 03 /10 /octobre /2010 07:38

Retraites. Mobilisation sans faille

 

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          Retraite. Mobilisation sans faille

 

La bataille des chiffres, entamée depuis les deux manifestations précédentes par les opposants au projet de réforme des retraites et le gouvernement, était hier toujours aussi acharnée. L'exemple de Paris illustre parfaitement les singuliers écarts d'un comptage à l'autre : 63 000 personnes selon la préfecture et 310 000 selon les syndicats. Alors que le Sénat examine, mardi, le projet de loi déjà voté par les députés, qui prévoit le passage de 60 à 62 ans de l'âge légal de départ à la retraite et de 65 à 67 ans de la retraite à taux plein, les syndicats, qui n'attendent pas d'amendements révolutionnaires, ne sont pas résignés. Hier, trois millions de salariés sont descendus dans la rue (899 000 selon le ministère). Cette réforme ne fait pas l'unanimité : plus de sept Français sur dix (71 %) affichent soutien et sympathie pour cette nouvelle journée d'action, alors que le secrétaire d'État à la Fonction publique Georges Tron a répété hier que cette réforme, « améliorée à plusieurs reprises », était indispensable pour sauver le système des retraites. Le numéro un de la CFDT François Chérèque avait dit attendre « entre deux ou trois millions » de personnes, au « même niveau » que précédemment (2,5 millions le 7 septembre, 2,9 millions le 23, selon la CFDT), jugeant d'autant plus nécessaire d'être « nombreux » que « malheureusement » le temps joue pour le gouvernement. À Toulouse, où on n'échappe pas non plus à cette drôle de « guerre » des chiffres, les syndicats avancent celui de 125 000 personnes et 28 000 d'après la police. Sauf qu'ici, contrairement à la capitale, les dernières évaluations semblent supérieures à la grande mobilisation du 23 septembre.

Partout en France et en Midi-Pyrénées, les manifestants sont, pour beaucoup, venus en famille. Parents et enfants en poussette, étudiants, tous derrière une banderole « Ensemble public privé, Non à ce projet de loi, Oui à la retraite à 60 ans » ont été observés dans le centre-ville de Toulouse. De même que le tissu industriel toulousain n'a pas manqué le rendez-vous. Les bannières de Continental, Freescale, Airbus, EADS Astrium et Thalès étaient bien présentes aux côtés de La Poste, France Telecom et les cheminots. À Tarbes (Hautes-Pyrénées), on notait hier une présence plus marquée des agriculteurs et des petites entreprises.

Dans le Lot, beaucoup de jeunes ont arpenté les rues de Figeac et Cahors. Et à Albi (Tarn), là aussi la mobilisation s'est faite aux couleurs de la famille et de la jeunesse. Lorsqu'on est retraité, le combat n'en est pas pour autant terminé. À l'image de Jean-Pierre, 55 ans, hier dans les rues de Foix (Ariège), qui vient tout juste de fêter son départ à la retraite, et qui est quand même venu soutenir ses collègues. Gérald Camier


« On sent une vraie détermination »

Quelle est votre analyse, au soir de cette troisième journée de mobilisation contre la réforme des retraites depuis la rentrée ?

On est très satisfait. Avec trois millions de gens dans les rues, on sent une vraie détermination pour s'opposer à cette réforme. Les salariés veulent maintenir l'âge de départ à la retraite à 60 ans. On a constaté qu'il y avait beaucoup de familles, des enfants, des jeunes et des milliers de salariés qui sont venus manifester et qu'on ne voyait pas précédemment. On élargit progressivement à d'autres salariés qui ne peuvent pas faire grève, pour différentes raisons, en semaine. On sent une réelle participation sur des questions de solidarité et de justice sociale. ça va nous encourager pour la grève et les manifestations que nous prévoyons pour le 12 octobre. On a quand même chiffré 230 manifs dans toute la France.

À la veille de l'examen par le Sénat de la réforme des retraites, prévu mardi, les syndicats ne semblent pas en attendre grand-chose ?

Il y aura quelques mesures prises à la marge, mais on ne ressent pas, c'est vrai, une volonté de faire bouger plus que ça les choses. En l'état, on continue de mobiliser. L'âge du départ à la retraite qui passe de 60 à 62 ans et un taux plein à partir de 67 ans, c'est ça qui mobilise les salariés, mais aussi les chômeurs. Certains ont 52 ans et on ne veut plus les embaucher. Cette réforme est économiquement incompréhensible pour les gens. On pense avoir gagné la bataille des idées : le gouvernement est battu sur sa réforme et le président de la République ne cesse de chuter dans les sondages.

Faut-il durcir le mouvement ?

Durcir ne veut pas forcément dire grève générale. On voit régulièrement 3 millions de gens dans la rue, mais ce n'est pas la seule forme de contestation. On peut imaginer des débrayages partiels dans les entreprises, et l'ouverture d'un débat. Il faut trouver des actions multiformes.


Le chiffre : 3 millions

manifestants> Dans la rue.C'est le chiffre annoncé hier par les organisations syndicales. Le ministère de l'Intérieur a, quant à lui, évalué à 899 000 le nombre de manifestants. La guerre des chiffres, entamée lors des deux précédentes manifestations, continue.


Les réactions

Bernard Thibault (cgt) > « Dans les mêmes eaux ». Le nombre de manifestants hier est « dans les mêmes eaux » que le 23 septembre, « peut-être en dessous (...) Pour autant, cette journée contribue à élargir le mouvement, avec un public de nouveaux participants. »

François Chérèque (cfdt) > « Echec du gouvernement ». Manifester un samedi, « c'est un bon choix parce que ça permet aux personnes qui ne viennent pas d'habitude aux manifestations de venir (...) On est calme et déterminé. C'est le gouvernement qui est en échec aujourd'hui. »

Jean-claude Mailly (fo) > « Le gouvernement nous a déjà fait le coup ». « J'aurais pu vous le dire avant, que le gouvernement allait annoncer une mobilisation en baisse (…) Il nous a fait le coup la dernière fois, cela s'appelle de la communication. »

Martine Aubry (PS) > « Réforme inéficace ». : « Cette réforme « est totalement inefficace (…) ça casse toutes les garanties collectives et c'est un étouffement démocratique. »

Jean-michel Baylet (prg) > « Un mouvement populaire et solidaire ». « Les 3 millions de personnes qui ont manifesté ont marqué la naissance d'un mouvement populaire et solidaire. Sa portée dépasse la simple résistance à une réforme inadaptée et injuste des retraites. (….) C'est peut-être le début d'une nouvelle ère politique. »

Luc Chatel (porte-parole du gouvernement) > « Pas d'amplification du mouvement ». « Chacun reconnaît ce soir qu'il n'y a pas d'amplification du mouvement alors qu'on pouvait penser que l'organisation d'une manifestation le samedi drainerait de nouveaux publics. »


A Albi la manifestation filmée par la CGT

« Nous avons filmé l'intégralité de la manifestation d'Albi, hier matin. Pendant 1 h 15. Le film ne sera visionné que plus tard, lorsqu'on aura le temps. Vous imaginez le temps qu'il faudra si on compte les personnes un par une », confiait un responsable de la CGT, hier, lors de la dissolution du cortège. FO et la CGT ont aussi mandaté cinq militants pour effectuer un comptage précis des manifestants au moyen de chronomètres. Une méthode qu'ils estiment précise et fiable. Autant de précautions qui font suite à une controverse sur les chiffres, lors de la dernière manif du 23 septembre à Albi. La police avait demandé à un huissier de justice de compter les manifestants. Il en a répertorié 4 380. La police, de son côté, 4 200 et les syndicats, 20 000 ! Chacune des parties ayant foi en son système de comptage, estimé précis à 10 ou 15 % près. Mais que penser devant un tel écart qui rend peu fiables les chiffres des uns et des autres ? Hier matin, aucun huissier n'a été mandaté. La police annonçait en fin de journée, 4 000 manifestants à Albi et 5 000 à Castres. Les syndicats annonçaient, de leur côté, 8 000 à Albi et 8 000 à Castres. Pas de jaloux dans le Nord et dans le Sud. Soit un total dans le Tarn de 9 000 pour la police contre 16 000 pour les syndicats. Ces derniers reconnaissaient avoir un peu gonflé les chiffres. Juste ce qu'il faut mais pas trop. Un syndicaliste confiait que 6-7 000 serait un bon chiffre dans chaque ville. Soit une participation comprise entre 12 000 et 14 000 personnes contre 9 000 pour la police. On serait donc revenu à des écarts et des chiffres plus crédibles en effectuant une simple moyenne qui contenterait, sans doute, tout le monde. P.S.

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3 octobre 2010 7 03 /10 /octobre /2010 07:23

Réforme des retraites : la pression sur l'Elysée s'accentue

Manif Retraire 2/10/2010 Marseille

Les syndicats ont remporté leur pari. La cinquième journée d'action contre le projet de réforme des retraites, samedi 2 octobre, a montré que le niveau de mobilisation reste élevé dans le pays. Le succès de ce rendez-vous, le troisième en un mois, n'allait pas de soi, d'autant que le texte gouvernemental a été voté à l'Assemblée le 15 septembre.

Mais comme l'avaient pronostiqué les organisations syndicales, la mobilisation a été grosso modo "dans les mêmes eaux" que le 23 septembre : "près de 3 millions" de manifestants en France, selon la CGT; 899 000, soit une baisse de 98 000, selon la police

La balle est désormais dans le camp de l'Elysée et du gouvernement : ils vont devoir ajuster leur stratégie en prévision de l'ouverture, mardi 5 octobre, du débat sur le projet de réforme au Sénat mais aussi de la journée de grèves et de manifestations du 12 octobre.

"NOUS NE RECULERONS PAS"

"La moyenne nationale, ce sera autour des trois millions comme le 23 septembre. Donc, nous ne reculerons pas", a redit, au départ de la manifestation parisienne, le secrétaire général de la CGT, Bernard Thibault"Le gouvernement ne peut pas en rester là. Il doit ouvrir le dialogue", a estimé son homologue de la CFDT, François Chérèque. Les syndicats interprètent le niveau de mobilisation de samedi comme le signe d'un ancrage de la contestation. Ils estiment avoir marqué des points dans l'opinion sur le caractère injuste du projet de réforme, en particulier pour les femmes et pour les travailleurs les plus modestes, et sur la responsabilité du pouvoir dans l'accroissement des inégalités.

Et ils pensent disposer d'un large capital de sympathie dans l'opinion qui fait actuellement défaut au chef de l'Etat. A preuve, selon eux, ce sondage CSA pour L'Humanité de samedi selon lequel 71 % des Français soutenaient l'appel à manifester. Un chiffre inédit, qui renvoie à un autre record, à la baisse celui-là, pour la cote de confiance de Nicolas Sarkozy.

Selon la dernière enquête TNS-Sofres, le président enregistre un record d'impopularité avec 72 % de mécontents. "Le gouvernement ne peut pas se permettre de ne pas nous entendre", s'est exclamé samedi matin, sur Europe 1, M. Chérèque. "Continuer à parier sur l'effritement du mouvement, ce n'est pas une stratégie", a-t-il précisé en début d'après-midi. L'exécutif est resté jusqu'à maintenant inflexible. Il n'a saisi aucune des perches qui lui ont été lancées par le numéro un de la CFDT. Le chef de l'Etat et le premier ministre ne veulent pas toucher au cœur de la réforme, c'est-à-dire au recul des âges de la retraite de 60 à 62 ans pour l'âge légal de départ et de 65 à 67 ans pour l'âge de la pension sans décote. "Je comprends la colère et les inquiétudes, mais le rôle d'un chef de l'Etat, c'est de prendre ses responsabilités", a réaffirmé le président vendredi.

"L'AUTISME DU POUVOIR"

L'intransigeance présidentielle durera-t-elle ? C'est ce que pensent les leaders syndicaux. Au Sénat, où le pouvoir ne dispose que d'une majorité relative, l'exécutif devra certes composer avec les centristes, partisans de maintenir, dans certains cas, le plafond des 65 ans pour la pension sans décote, mais aussi avec le président (UMP) du Palais du Luxembourg, Gérard Larcher, plus enclin que M. Sarkozy à la souplesse.

Toutefois, l'Elysée est convaincu que la répétition des journées d'action tient du rituel social en France et que le mouvement de contestation, de "décélération notable" en "légère inflexion", finira par s'effriter comme en 2003. Il peut donc choisir d'attendre l'après-12 octobre pour décider, si cela s'avérait nécessaire, d'éventuelles concessions. L'exécutif pense que le temps joue pour lui et sait que la CFDT et la CGT n'ont aucune envie de s'engager dans des grèves reconductibles qu'elles estiment à hauts risques pour les salariés et pour le syndicalisme. Mais cette stratégie est dangereuse. Frustrée par "l'autisme du pouvoir", une partie des contestataires de la réforme peut miser sur la radicalisation du mouvement pour se faire entendre. Et dans ce cas de figure, qui n'est pas le plus certain, c'est bien le chef de l'Etat qui serait en première ligne, accusé d'avoir jeté de l'huile sur le feu et d'avoir trop tardé à sortir du blocage actuel.

Claire Guélaud

 

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  • : Par ma famille d'accueil j'ai bénéficié des valeurs de la République : liberté, égalité, fraternité, solidarité... Ce qui explique pourquoi je m'implique au service de mes concitoyens, par mon engagement politique d'Adjoint au Maire de Lannemezan, de conseiller communautaire de la CCPL et membre du Parti Socialiste. Aujourd'hui, je veux partager avec vous, au travers de nos "Echanges d'opinion", ces valeurs et plus particulièrement le besoin de solidarité si nécessaire à notre époque.
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